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Conseils pour un langage inclusif – Partie 2

Note du rédacteur : Il s’agit de la deuxième partie d’une série en trois parties sur le langage inclusif.

De nombreux événements récents nous ont amenés à réfléchir à la terminologie que nous utilisons au quotidien. Le langage évolue constamment et dernièrement plus vite que jamais. Voici des conseils pour ceux qui veulent en savoir plus sur la façon de faire preuve d’inclusion dans leur vie quotidienne.

Le « langage inclusif » évite les préjugés, l’argot ou les mots qui reflètent les opinions discriminatoires contre des groupes de personnes en fonction de leur race, de leur sexe ou de leur statut socioéconomique. Cela signifie simplement qu’il s’agit d’une communication attentionnée et respectueuse. 

Voici trois façons de rendre votre langage plus inclusif.

  • Optez pour la neutralité de genre (pensez « transporteur de courrier » au lieu de « facteur »)
  • Respectez la race et l’ethnicité (mettez en majuscule le « N » du mot noir)
  • Mettez l’accent sur l’humanité (dites « les personnes en situation d’itinérance » au lieu des « sans-abri »)

Partie 2 : Race et ethnicité — Faire preuve de courtoisie et de respect envers tous

Lorsque vous faites référence aux divers milieux de vie des gens, il est important d’utiliser un langage approprié et respectueux. Décidez soigneusement s’il est nécessaire d’identifier quelqu’un par sa race ou son ethnicité. N’incluez ces détails que lorsque cela est vraiment pertinent. Par exemple, la plupart des utilisations de la race ou de l’ethnicité d’une personne documentent des événements révolutionnaires ou historiques. Voici deux exemples :

  • Barack Obama a été le premier président noir des États-Unis.
  • Sonia Sotomayor est la première juge hispanique de la Cour suprême des États-Unis.

En raison des progrès dans l’histoire, la culture et la tolérance, la terminologie peut continuer à évoluer. L’un des facteurs clés à considérer lors de l’utilisation de termes raciaux ou ethniques est que tout groupe racial ou ethnique peut déterminer comment il veut qu’on le nomme. Et cela peut changer! Voici quelques termes privilégiés :

  • Les personnes noires, les personnes hispaniques ou les personnes blanches, mais jamais comme un nom singulier comme les Noirs, les Hispaniques ou les Blancs. (Notez la majuscule; cependant, selon le style de l’AP, il y a, pour le moment, moins de soutien pour mettre le blanc en majuscule.)
  • Personnes de couleur (parfois abrégées comme PDC) ou minorité raciale ou simplement minorité. 
  • Afro-Américain, Asiatique américain, Latino-américain, Européen, Insulaire du Pacifique, etc. (Remarque : tous les termes ne sont pas interchangeables, alors si possible demandez à la personne de vous signifier ses préférences)
  • Amérindien et autochtone lorsque l’on parle des peuples autochtones. (Si possible, indiquez le nom de la tribu : Navajo, Cherokee, Sioux, etc.)
  • Biracial ou multiracial pour décrire des personnes ayant plus d’une origine raciale.

Ne devinez pas, posez des questions. Il est préférable d’être curieux plutôt que déplacé. Voici une liste de vérification rapide à consulter pour vous assurer que votre message est approprié et exact.

  • Ai-je mentionné la race ou l’origine ethnique de quelqu’un? Si oui, était-ce nécessaire?
  • Ai-je utilisé uniquement les termes qui sont pertinents à mon message?
  • Ai-je utilisé des adjectifs acceptables et prévenants?
  • Est-ce que je donne autant de détails lorsque je communique au sujet de personnes de couleur ou d’origines diverses que lorsque je communique au sujet de ma propre race et origine ethnique?

N’oubliez pas que le langage inclusif que vous utilisez doit être respectueux et pertinent. Demandez-vous toujours si la race ou l’origine ethnique est même pertinente dans vos communications.

 
Deborah Digrispino
By Deborah Digrispino, GM Financial

Deborah Digrispino a un œil d’aigle pour parsemer le « i » final et traverser le « t » final. Elle est motivée par une communication claire et concise qui établit un lien avec l’auditoire et entame une conversation. Lorsque l’ordinateur est éteint, son souci du détail est axé sur les films de Mafia (oui, prenez le cannoli), les vrais documentaires sur le crime et la recherche de sites de tombes de célébrités.

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